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Allocutions du Chancelier Suprême

C'est ici que la Chancellerie Suprême fait ses conférences de presse et ses allocutions officielles.
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Gaspard Salcedo
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Allocutions du Chancelier Suprême

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Chancelier Suprême, en charge de la Santé et des Affaires Sociales.
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Allocution télévisée du 1er avril 97
Investiture de M. Gaspard Salcedo, Chancelier Suprême



Chers frôçeuses,
Chers frôçeux,

Dimanche dernier, vous vous êtes déplacés massivement aux urnes. Je souhaite vous féliciter pour ces millions de gestes citoyens, qui prouvent que notre démocratie est vivante, et que le lien qui unit les frôçeux à leurs représentants est fort et sincère. Ces résultats exceptionnels montrent également que l’ensemble des partis politiques arrivent à représenter les idées de l’ensemble des frôçeux, malgré leur complexité et leur diversité. Je félicite donc l’ensemble des partis politiques pour leur engagement au service de notre pays.

Vous avez pu constater ces résultats. Ils nous montrent que ce que j’ai proposé aux frôçeux, à savoir un nouveau pacte citoyen pour un Etat fédéral plus efficace et adapté aux enjeux du quotidien et du futur de notre pays, a recueilli le suffrage de près de dix millions de citoyens. Votre demande de plus de liberté, de plus de fierté d’être frôçeux, de davantage de sécurité, a été entendue. Personne, à l’heure actuelle, ne peut nier le fait que les frôçeux souhaitent être gouvernés par un Etat qui les protège, qui rende des comptes sur l’utilisation des deniers publics, et qui redonne sa grandeur à leur pays.

La vie politique frôçeuse est ainsi faite, et c’est son charme, que cette majorité relative ne permet pas au parti dont je suis le représentant d’occuper la majorité absolue des sièges à l’assemblée fédérale. Il me fallait donc trouver un allié afin de compléter cette majorité par un nombre de sièges suffisant pour permettre la stabilité et la certitude en l’avenir que vous méritez. Il me fallait également trouver un allié qui corresponde à la volonté que vous avez exprimé clairement par les urnes. Il me fallait, enfin et surtout, trouver un allié qui soit en capacité de gouverner de manière sérieuse et proche des citoyens. Cet allié, je l’ai trouvé. Il s’agit du parti Frôce Traditions - Les Conservateurs.

J’ai entendu certains commentateurs parler d’une alliance avec l’extrême droite. J’aimerais leur dire deux choses. Tout d’abord, je les mets au défi de trouver une seule déclaration ou une seule mesure d’extrême droite parmi ce que propose ce parti. Ils n’en trouveront pas. Ils n’en trouveront pas, parce que mes alliés du FTLC sont attachés aux traditions, à la vie des classes populaires et moyennes, à notre qualité de vie - ils ne sont en aucun cas xénophobes ou populistes.
J’aimerais aussi leur dire que toute ma vie, j’ai été engagé contre l’extrême droite. Jamais je ne me serais allié avec les extrêmes, quels qu’ils soient. Je considère que ce choix est un choix démocratique, et qu’il permettra par un programme de gouvernement clair de répondre concrètement aux besoins des frôçeux. C’est uniquement en luttant contre les problèmes des frôçeux de manière pragmatique et courageuse que nous lutterons contre les extrêmes et le populisme.

Le mandat qui s’ouvre sera un mandat d’unité. Dans toutes les mesures que nous proposerons, nous rechercherons la plus large majorité politique pour les soutenir et l’assentiment de la société civile. Les mesures que nous porterons iront sans doute à l’encontre de certains prés-carrés, de certaines coteries, de certains corporatismes. Parfois, elles seront difficiles. Mais elles seront indispensables à la construction d’une Frôce nouvelle, entendue sur la scène internationale, capable de s’imposer dans la mondialisation sans renier ses racines, offrant à ses jeunes un avenir où il sera possible pour tous de travailler, de protéger sa famille, d’innover.

Je me présenterai très vite devant l’Assemblée fédérale pour soumettre la feuille de route qui sera celle de mon gouvernement. Ce gouvernement, vous l’avez vu, est un gouvernement resserré, de combat. Il ne comprend que cinq membres, chacun ayant la direction d’un ministère cohérent. J’ai confiance en chacun de ces membres pour porter les mesures dont la Frôce a besoin. Je suis dès à présent, ainsi que M. le Vice-Chancelier Julien Farry et l’ensemble du gouvernement, pleinement engagé pour faire entrer définitivement la Frôce dans le XXIe siècle.

Vive la Fédération, et vive la Frôce.

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Allocution télévisée du 1er septembre 97
Allocution de M. Gaspard Salcedo, Chancelier Suprême



Chers frôçeuses,
Chers frôçeux,

Le courage n'est pas seulement une vertu. Il n'est pas seulement un trait de caractère. Il est également, en politique, une valeur. Le courage, c'est prendre les décisions que les circonstances imposent en prenant en compte les paramètres du pays. C'est présenter ses idées, débattre, consulter, mais c'est aussi trancher. Surtout, c'est savoir appliquer les mesures que l'on croit bonnes pour sa Nation.

J'ai décidé à l'occasion des dernières semaines de réunir la plupart des partenaires sociaux de Frôce. Syndicats de salariés, de soignants, patronat, associations familiales, nombreux ont été les acteurs à échanger avec moi afin de tenter de tracer une ligne d'avenir pour la protection sociale frôçeuse. Ce n'est pas chose aisée. La protection sociale entre au carrefour de dizaines de questions fondamentales auxquelles la politique ne trouve pas toujours de réponses.

Tout d'abord, je voudrais commencer par dire que la réforme de la sécurité sociale s'est faite avec le souci constant de garantir l'équilibre des comptes sociaux. Il est hors de question que nous transmettions aux générations futures des budgets sur lesquels il serait de leur devoir de rogner, parce que nous n'avons pas su prendre nos responsabilités. Je vous annonce donc que les comptes de la sécurité sociale seront à l'équilibre, et ce malgré de fortes garanties de protection sociale maintenues. Ceci est dû non seulement à l'apport financier massif que représentent les cotisations sociales, mais également à de nouvelles taxes qui permettent d'apporter plusieurs milliards à la sécurité sociale - je parle ainsi des taxes sur l'alcool et le tabac, ainsi que sur les véhicules 100% thermiques. Outre l'apport financier indéniable, ces taxes ont un intérêt de santé publique majeur.

Malgré cette rigueur budgétaire que j'assume et dont je suis fier, je ne présenterai pas à l'Assemblée fédérale des taux trop importants de cotisations sociales. Ainsi, le total des cotisations salariales sera d'environ 22% ; pour les employeurs, ça sera 17%, et 19% pour les indépendants. Je trouve que ces taux restent trop élevés, en particulier pour les salariés. Je veillerai à ce que des réformes de fonctionnement en matière de santé puissent libérer des marges de manoeuvre bienvenues. Je compte également sur la politique du Gouvernement et des métropoles pour résorber le chômage et ainsi permettre plus de souffle aux comptes sociaux.

Nous, frôçeux, évoluons dans un monde particulièrement changeant. L'emploi n'est plus garanti à vie, par ailleurs nous n'aspirons plus à faire le même métier toute la vie ; la formation prend une importance grandissante ; les alternances entre périodes d'emploi et de non emploi sont, c'est un fait, plus régulières ; et l'emploi est de plus en plus corrélé à la capacité d'innovation d'un pays, et à son envie de permettre l'entrepreneuriat.

Ce sont tous ces constats qui m'ont poussés à élaborer une ambitieuse réforme du chômage. Lorsqu'un salarié perdra son emploi, il sera couvert pendant six mois à hauteur de 70% de son salaire d'avant-chômage. Il s'agit d'une protection particulièrement bonne, qui permettra de donner le temps à chacun de trouver un nouveau travail. Je tiens d'ailleurs, sur ce point, à responsabiliser les métropoles. C'est à elles qu'il revient de mettre en place des politiques publiques de l'emploi permettant le dynamisme économique, une formation adéquate pour l'insertion sur le marché du travail, et une présentation régulière aux demandeurs d'emplois de possibilités d'embauche. La sécurité sociale n'est, elle, présente que pour assurer un filet de subsistance aux citoyens.

J'en viens au budget le plus important de la sécurité sociale, je parle bien entendu de celui des retraites. En la matière, il m'a fallu beaucoup de courage pour décider les mesures qui s'imposent. La population est vieillissante ; mais elle vit de plus en plus vieux, et en meilleure santé. Il serait inconcevable en la matière de conserver un départ à la retraite trop tôt. Ce serait grever les finances sociales pour le futur ; ce serait être obligés de taxer davantage les actifs et ainsi de faire ralentir une économie qui n'a pas besoin de cela ; ce serait rogner sur d'autres dépenses toutes aussi essentielles. Nous ne pouvons donc pas éviter un allongement de la durée de cotisation. Ainsi, deux âges de départs à la retraite seront mis en place : l'âge légal sera de 60 ans, à un niveau de prestation équivalent à 35% du salaire perçu lors des dix dernières années de travail. Cette prestation retraite passera à 50% dès l'âge de 65 ans. Je sais l'effort que cela représentera pour les frôçeux. Hélas, la société et la science évoluent trop vite et vont trop loin pour nous puissions nous payer le luxe de rester sur la ligne de départ.

En matière d'allocations familiales, j'ai souhaité faire en sorte que la Frôce présente un haut niveau de soutien à la famille. Ainsi, des prestations familiales d'un montant allant de 100plz à 200plz, selon le niveau de revenus, pour deux enfants à charge seront garanties. En outre, nous assumons un effort conséquent sur le minimum vieillesse, qui sera porté à 1000 plz par mois. Le revenu fédéral minimum de solidarité est fixé à 800 plz par mois. Enfin, nous avons choisi de dépasser les revendications des associations familiales en matière de compensations et versements handicap, avec des taux inédits que vous découvrirez bientôt.

Concernant la santé, il est trop tôt pour dire si la loi qui est en train d'être votée à l'Assemblée produira rapidement des effets sur l'état de santé des frôçeux, sur la qualité de travail des soignants et sur les comptes sociaux. Nous avons choisi de conserver un haut niveau de dépenses de santé, notamment en direction des soignants libéraux qui verront pour la plupart leurs revenus augmenter. Ces efforts en direction de la médecine de ville ne sont pas une simple question de rémunération. Ils sont une vision de la société dans laquelle l'ensemble des soignants sont valorisés pour le travail qu'ils effectuent, sont considérés comme participant à la même santé publique ; il s'agit également de faire sortir de l'hôpital un certain nombre d'actes et de pratiques qui n'ont rien à y faire, comme la consultation de bobologie aux urgences ou encore le suivi de grossesse.

Les actes de soins essentiels, à savoir les consultations médicales ou encore les opérations, seront prises en charge à 90% par la sécurité sociale - ceci offre un niveau de protection de la santé rarement vu en Europe et dans le monde. Les actes de confort ainsi que les 10% de reste à charge devront être pris en charge par les complémentaires santé. De manière plus générale, ces complémentaires pourront également offrir une retraite supplémentaire à celle garantie par la sécurité sociale. Ces complémentaires pourront être créées par des acteurs privés ; néanmoins, il est également prévu que les métropoles puissent créer des complémentaires santé.

Vous l'avez compris : cette réforme est une mesure de courage, offrant un haut niveau de protection sociale, conjuguée à une forte responsabilité financière qui devrait permettre d'encourager la création d'emplois et de valeur dans notre pays. Offrir un futur à la Frôce commence par le courage politique de vous dire la vérité sur le fonctionnement des finances d'un pays.

Vive la Fédération, et vive la Frôce.

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Chancelier Suprême, en charge de la Santé et des Affaires Sociales.
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